Le béton imprimé en 3D de l'Université RMIT est construit avec des couches hélicoïdales pour augmenter la résistance.

Avantages

  • Force accrue
  • Résilience accrue
  • Evolutif

Applications

  • Les matériaux de construction
  • Conception du pont

Objectifs de développement durable des Nations Unies abordés

  • Objectif 11 : Villes et communautés durables

Le projet

Le béton imprimé en 3D a le potentiel de rendre les structures de construction plus efficaces et durables en économisant du temps, de l'argent et des matériaux. Cependant, en raison de la méthodologie d'impression couche par couche, le béton présente souvent des plans de faiblesse.

Détails de l'innovation

Le béton imprimé en 3D est posé selon un motif hélicoïdal et tordu plutôt que des lignes parallèles, similaire à la conception de la carapace de homard. Cette méthodologie intègre mieux les couches de béton au fur et à mesure de sa prise. De plus, le mélange de béton est renforcé avec des fibres d'acier qui réduisent les défauts et la porosité, permettant au béton de durcir de manière plus cohérente pour créer une meilleure base pour les couches ci-dessus.

vignette vidéo

Modèle biologique

Les carapaces de homard sont solides, flexibles et résistantes à la fissuration. La coque est constituée de fibres disposées dans la structure Bouligand, un structure semblable à un escalier en colimaçon. Cette structure aide à répartir une force d'impact ou la morsure d'un prédateur dans toute la carapace, atténuant ainsi les effets négatifs.